Le départ a quelque chose de beau (6000 KM FROM HOME), en cela qu'il nous fait personnage, on ressent plus fort. C'est le haut de la calanque, qui appelle les bras de tous ceux qu'on a connus, et qu'on espère reconnaître.
Bien sûr les grands cris, et d'autres larmes au bord de l'avion, sont orchestrés par de la paperasse (je me moucherais bien avec) administrative qui rend évidemment la situation un peu plus terre à terre, sans parler des minutieux bagages à faire presto.
Mais c'est pas plus mal.